lundi 29 avril 2013

Le Pas De Merlin - Jean-Louis Fetjaine

En ce moment, j'ai un emploi semi-fictif. Donc j'ai pas mal d'heures de libres dans la journée. Ce qui me permet de beaucoup bouquiner. Aujourd'hui, je vais vous parler du livre de Fetjaine : Le Pas de Merlin.

L'auteur nous plonge dans les temps des légendes arthuriennes, avec un axe plus historique, vu qu'il a beaucoup bossé là-dessus en tant qu'historien. Ce qui ne l'empêche pas d'imaginer une histoire plutôt dans le domaine de la fantasy.

Merlin y est un jeune barde, dont les gens se méfient, parce qu'il a un côté elfique/diabolique. L'histoire se passe en pleine christianisation de la Bretagne, au Ve siècle. Les bretons sont partagés entre les anciens cultes et les petits moines qui viennent évangéliser. De plus, ils sont assaillis de toutes parts par les attaques des Pictes, Saxons, Gaëls...

Le Roi Ryderc convoque tous les rois bretons afin de tenir conseil et élire un chef qui permettra d'unifier le royaume, puis repousser les assaillants.
Guendoleu est élu, mais les complots vont bon train pour lui reprendre le torque.

Merlin, au milieu de tout ça, essaie de survivre et de comprendre d'où il vient, où il va, dans quel état j'erre?

C'est le volume prems d'un dyptique, donc je ne sais pas du tout comment se termine cette histoire, mais ça ne saurait tarder.

En tout cas, c'est un tout petit livre, maiiiiiis j'ai un eu du mal à rentrer dedans. Dommage parce que c'était un angle de vue intéressant pris par l'auteur. Toutefois, trop de personnages, je pense, et trop d'intrigues à la fois. Mais je le conseille quand même, il doit être bien; je pense juste que je n'étais pas "in the mood for love.

lundi 22 avril 2013

Moonspell... Rrrrroooaaaaarrrrrr!!!

Salut les Trashos, ça faisait un bail, hein? (J'ai l'impression que je commence tous mes billets comme ça)

Bon, ben là, je viens vous parler de mon dernier cadeau d'anniversaire dont j'ai pu profiter hier.
Alors, je vous parle un peu de ce groupe, qui est un de mes groupes mythiques. Un jour, il y a un peu plus d'une dizaine d'années, à l'heure où internénette c'était un truc de geek bourges et où tout le monde n'avait pas son personal computer, j'ai acheté un magazine de métal quelconque. Dedans, il y avait le catalogue Adipocere. Ah, si vous êtes un vieux métalleux, ça vous ramène des souvenirs, même si vous n'y aviez jamais commandé, tout le monde a méga feuilleté. Et je suis tombée là-dessus :

Ce qui est surligné en rouge, c'est pour attirer votre attention. Parce que moi, ça m'a fichtrement intrigué (parce que je suis Tos, pour ceux qui s'en doutaient pas même-si-c'est-trop-marqué-sur-ma-gueule). Ni une ni deux, j'ai fait l'unique commande de toute ma life sur Adipocere.

A réception, la claque sa mère!

Même si cet album est détesté autant par les fans que par la critique. Pour moi, c'est une putain de révélation. Pour tout vous dire, quand je me suis retrouvée dans la rue, ça faisait partie d'un truc que j'ai emporté dans mon sac à dos, et que j'ai gardé jusqu'à aujourd'hui (avec un slip, mais c'est une autre histoire). Je tombe dedans et je n'ai plus arrêté. Toutefois, à chaque fois que j'ai voulu les voir sur scène, il y avait un putain de truc cosmique qui m'en empêchait.

Jusqu'à hier! Autant vous dire que j'étais fébrilasse et que j'ai fait bien chier tout mon monde jusqu'à l'événement. C'était au Divan du Monde, et c'était putain de sold-out, parce la queue allait jusqu'en haut de la rue des Martyrs. Quand j'ai enfin pu pénétrer dans la salle, je me suis ruée au merch' pour ne pas me faire kendavo. J'ai acheté un putain de tcheurte :

http://www.moonspell.rastilho.com/imagem.php?data=YTo0OntzOjM6ImltZyI7czo2MjoiLi4vZ2FsZXJpYS9tZXJjaC9wcm9kdXRvcy8wYzUzNmU2NmQxODU4NTg5ZWI5YjhlYTVlYmYxMDg3Yy5qcGciO3M6NToid2lkdGgiO2k6MjI1O3M6NjoiaGVpZ2h0IjtpOjIyNTtzOjQ6ImNyb3AiO2I6MTt9 
 Ca vous dit pas grand chose comme ça, mais une écriture blanche constellée de sang, c'est trop moi (ragnagna girl). En plus, il y a l'écusson du Portugal (R-E-P-R-E-S-E-N-T). Alma Mater c'est une de leur chanson culte, avec derrière une partie des paroles (en tos of course). Alors que tous ceux qui ont été vendus, les comportaient en anglais, moi j'ai eu la version Tos (quand je vous dis que c'est marqué sur ma gueule). Et puis j'ai acheté aussi un bandana.

Pendant ce temps-là, la première partie, c'était Insomnium. Death finlandais, ça a carrément été une bonne surprise, ça fait plaisir. Je pense que pour une fois, je vais pousser le bouchon un peu plus loin, Maurice...

Et puis, bon après, j'ai un peu de mal à vous raconter la suite parce que j'étais dans un état second, mais vous aurez droit à la setlist-que-mon-chéri-a-dégoté-et-qu'il-a-failli-donner-à-un-pote-et-que-j'ai-failli-l'étrangler.

Alors concrètement, sur scène, leur son était mortel, en plus, ils se donnent un petit côté indus du plus bel effet. Et Fernando Ribeiro adore baragouiner en franço-luso-anglais, mais il sait haranguer les foules. On a eu a un moment donné une danseuse mi-vampire, mi-égyptienne, mais qui ne sait pas trop cracher le sang. Mais bon Dieu, ça a envoyé du lourd!

Et puis mon mec a serré la main à tout le groupe...Alors, je n'ai pas pu m'en empêcher...



Et pour finir, un petit souvenir de la soirée, et un peu de zik.